espace stabilisé sur pas de tir

Bonjour,
vous connaissez ?
http://www.morescore.at/htm/content2.php?sprache=3

Je connais mais jamais testé.
C'est assez barbare comme système mais cela fonctionne p-e...

Vu le peu d'espace dont on dispose sur le pas de tir en salle, je suis perplexe quant à la possibilité d'utiliser la troisième barre sans déranger le voisin !!!!!

drénalineLD a écrit:

Vu le peu d'espace dont on dispose sur le pas de tir en salle, je suis perplexe quant à la possibilité d'utiliser la troisième barre sans déranger le voisin !!!!!

Déjà que moi, n'étant pas bien épais, je me fais emmerder par des gros (cons aussi), alors avec ce système, c'est la mort assurée!

Si en plus t'as le malheur d'avoir un carquois Field.........!!!!!!!

Vivement le soleil qu'on puisse enfin retrouver un semblant d'espace de liberté.
Là !!!!!!
Prenez le temps d'écouter cet instant magique:
Un silence en pleine nature,
Vous décochez et là,
par le doux chant qu'elle émet votre flèche vous fait enfin savoir que vous l'avez libérée.
Respirez à fond, vous avez gagnez.
Vous vivez.

Comme quoi le bonheur c'est pas grand chose.

Maxence a écrit:

drénalineLD a écrit:

Vu le peu d'espace dont on dispose sur le pas de tir en salle, je suis perplexe quant à la possibilité d'utiliser la troisième barre sans déranger le voisin !!!!!

Déjà que moi, n'étant pas bien épais, je me fais emmerder par des gros (cons aussi), alors avec ce système, c'est la mort assurée!

Gros, moi ? Juste un peu enveloppé... Je pèse 96 kgs et comme disait Michel AUDIARD : '' Quand les mecs de 100 kilos disent certaines choses, les mecs de 60 kilos les écoutent..''
Quant à la connerie, si elle était proportionnelle au poids, çà se saurait..
Ci joint un petit texte sur le sujet, par un grand écrivain récemment disparu :

VIEUX CON ? C’EST VITE DIT !…

‘’ Vieux con ! ’’
C’est ce que l’on vient de me dire en ce jour de fin Juin 1978 à la sortie de la ligne de métro Porte d’Orléans-Porte de Clignancourt, à la station Réaumur-Sébastopol.
Il était 18 heures 37. Il y avait foule. Je poussais parce que j’étais poussé et quelqu’un que je n’ai pas bien vu, placé devant moi, s’est retourné et a proféré à mon intention, nettement et textuellement, cette formule lapidaire : ‘’Vieux con !’’
Il devait être jeune, probablement. Peut-être était-il con aussi, d’ailleurs.
En tous cas, cela m’a laissé rêveur. Depuis, j’interprète, je m’interroge. Je me demande si ce qui me gêne le plus est d’avoir été traité de con ou de vieux. Sans doute de vieux, parce que ça, ça se voit, alors qu’il ne pouvait pas savoir, en si peu de temps, si j’étais con.
D’un autre côté, s’il avait dit ‘’con’’ tout court, cela aurait eu une brièveté trop cinglante qui m’eût blessé peut-être plus profondément et je me demande si l’adjectif n’a pas été finalement un adoucissant, s’il n’a pas joué, en fait, un double rôle : tout d’abord, il tempère, et j’ai l’impression tout à coup qu’un vieux con est moins con qu’un con tout court… Cela est peut-être dû à une sorte de respect des anciens surnageant aux rebords de nos consciences…
Il y a là une nuance d’importance : le vieux con n’est peut-être con que parce qu’il est vieux ; il ne l’a pas toujours été, peut-être fut-il brillant , intelligent, peut-être autrefois ne poussait-il pas dans le métro… Bref, la connerie est ici un produit de l’âge dont elle est la victime, elle est donc plus attendrissante qu’inquiétante ; c’est une sorte de privilège du troisième âge en quelque sorte, et peut-être qu’en approfondissant encore, je trouverais dans l’expression qui m’a défini en ce court moment une infime nuance de tendresse.
J’imagine les visages émus de deux copains de régiment se retrouvant à l’automne de leur âge et se traitant mutuellement, les larmes aux yeux, de vieux cons. Pudeur des amitiés viriles…
Peut-être cet inconnu dans le métro a-t-il exprimé soudain une brutale montée de tension retenue à mon égard…
On peut évidemment ne pas être d’accord avec mon interprétation et penser au contraire que l’âge n’arrangeant pas les choses, se manifestant par une sorte de lourdeur, de pesanteur, ( le poids des ans ) un vieux con est plus con qu’un con moins vieux ou qu’un con tout court…
En tous cas, je n’ai rien répondu par manque de réflexes, je trouve mes mots toujours après…, et je suis heureux d’utiliser ces pages pour rétorquer enfin à mon interlocuteur. J’espère qu’il va me lire. Qu’est-ce qu’il va prendre !
Répondre n’est d’ailleurs pas si facile qu’il n’y paraît car on répond à une question ; or, je n’ai pas été questionné . Loin de là.
C’était plutôt une affirmation péremptoire. Peut-être pas complètement fausse d’ailleurs, et ce monsieur entr’aperçu était-il un fin connaisseur. Que répondre donc à quelqu’un qui vous apprend sans préparation excessive que vous êtes un vieux con ?
Le plus normal est de le traiter de la même manière, mais avouez que ce serait un aveu d’impuissance que d’employer exactement les mêmes termes ; cela dénoterait un tel manque d’imagination que je ne puis absolument pas m’y résoudre.
Trois solutions s’offrent : Petit, Gros et Grand. Choisissons.
‘’Petit con’’ ne me satisfait pas pour deux raisons, d’ailleurs contradictoires ; c’est à la fois trop gentil puisqu’un petit con est tellement con qu’il n’est même pas capable d’être un con tout entier : il y a dans cette formule quelque chose d’à la fois mignard et inachevé qui me laisse insatisfait.
J’écarte tout de suite ‘’Gros con‘’ qui, de loin, me paraît être la solution la plus vulgaire ; elle a un aspect d’obésité, d’enflure, de graisse et de bêtise épandues qui me choque. On peut être grossier sans être obscène ; ‘’Gros con’’ appartient aux deux catégories.
Reste ‘’Grand con’’. Là encore, je demeure perplexe : l’adjectif est ici presqu’un hommage . Proférer cette formule, c’est se poser aussitôt comme petit bonhomme râleur dressé sur ses ergots face à un grand escogriffe, dadais longiligne. C’est ce que dit dans la cour de récréation le bambin du cours préparatoire au grand du cours moyen qui vient de lui piquer ses réglisses. Cela serait ridicule que je profère ces mots d’enfant, moi qui suis un vieux. Un vieux con, pour être plus exact.
Alors, que faire ? Le silence ? Ce serait digne, mais il est dur de s’y résoudre : le silence est l’injure des forts. Il est peut-être possible de fourbir notre réplique dans le dictionnaire des adjectifs sophistiqués : ‘’Indescriptible con’’ me paraît trop long, rien de tranchant, rien de vif ni d’incisif ; non, décidément il ne faut pas dépasser les deux syllabes sinon on n’en finit plus et puis cela ne fait pas sérieux. Nous sombrons, nous qui voulons être prestes et rapides dans l’intellectualisme le plus outrancier.
Ici, l’adjectif vide le substantif de sa substance, il dilue dans les eaux de sa musicalité l’énergie ramassée dans les trois lettres fatidiques…
Bref, j’ai cherché pendant une semaine l’adjectid ad hoc, j’ai fait les dictionnaires comme les dames font les magasins et je n’étais pas loin de penser que, finalement, j’étais bien un vieux con lorsque la solution m’est venue d’un coup : exactement ce qu’il fallait, ni trop long ni trop court, la réplique parfaite. La voici, écoutez ça :
‘’Pauvre con ‘’.
Qu’est-ce que vous en pensez ? Maintenant que je l’ai écrite, je ne la trouve plus si bonne. Je me demande si ‘’pauvre’’ n’introduit pas une dimension d’apitoiement qui me pose comme une sorte de richard hautain avec smoking, cigare et double Rolls par rapport à un brave homme sans le sou que je toise dédaigneusement. Non, décidément, ça ne va pas non plus.
Je crois que je ne suis pas fait pour adresser des injures ; je me contenterai donc dorénavant d’en recevoir. En particulier celles que vous ne manquerez pas de m’adresser pour avoir utilisé cette chronique pour un débat aussi futile. Je m’étais pourtant promis de parler de choses sérieuses… des rapports humains dans la société par exemple. J’ai la pénible impression de n’avoir fait qu’effleurer le sujet. J’espère aussi n’avoir choqué personne.
Ce serait vraiment trop con.

Patrick CAUVIN

Un mot pour revenir au sujet et dire que les règlements ont parfois du mal à suivre l'évolution du matériel...
Il faudra peut-être un jour fixer aussi des limites aux dimensions des stabilisateurs, etc,etc.. On n'en sort pas !
Et encore, il suffit de visiter certains sites US pour constater avec quellle délectation certains bricoleurs s'acharnent à transformer les arcs en ''usines à gaz'' dignes de STAR WARS..
Et encore du boulot supplémentaire pour les arbitres au contrôle du matériel pour déterminer ce qui est conforme ou pas..